Dans ma chronique de juin parue dans le magazine La Vie de cette semaine, je regarde ce que le temps qui passe fait de mes mains...
"Lentement je passe. Je pousse comme un arbre et mon écorce se fait rugueuse, et mes rameaux un peu se tordent. J'aime à croire que c'est en solidité que je gagne, à tendre ainsi chaque printemps davantage mes branches vers le ciel..."

Vous pouvez la lire (librement) en ligne en suivant ce lien :
L'une regarde ses mains, l'autre ses pieds, une bague change de doigt... Oui, nous sommes de passage. Il nous faut accueillir, apprivoiser, accepter.